Ce petit tome d’une centaine de page contient tout ce dont un gentleman doit savoir pour maîtriser cette discipline, aujourd’hui olympique. Quelques images savoureuses ponctuent les chapitres, d’hommes moustachus portant de virils jambières, entretenant des poses de combat. Bonus: un supplément sur la savate permet de s’ouvrir sur la variante française.
Canadiana.ca est un site regroupant des documents numérisés par les bibliothèques du Canada. Il est donc possible d’explorer d’autres livres, articles de presse ou autres pamphlets traitant de boxe. Par exemple, il y a cet opuscule sur l’homme fort Jo Montferrand diffusé en 1844 (et repris en 1899) ainsi que divers articles de presse de l’époque traitant de ce sport.
Il est fascinant de voir que la boxe fait partie de la culture Québécoise depuis bien longtemps !
Mono- ou multi- filament ? 30 ou 40 lbs de test? Plusieurs questions demeurent suite à un échange récent sur un réseau social quant à la meilleure configuration de son équipement de pêche sur la glace. L’image présente quelques éléments de réponse, dont ce multifilament (4x ) à 30 lbs test disponible sur Amazon.
L’appel de l’agent de la SÉPAQ m’a réchauffé le coeur. Il faut dire que le mercure était en chute libre quand j’ai réservé mon forfait de camping au Parc national d’Oka. Et que le site de la Société des établissements de plein air du Québec (SEPAQ, dont je suis membre à titre personnel) m’indiquait qu’il devait y avoir de l’eau courante et de l’électricité sur place. Et non, le parc d’Oka est en mode hiver, l’agent voulait m’en informer et discuter de mes plans pour dormir sous un froid polaire.
Quelle aubaine, ce grand froid! Mon plan de tester mon équipement de camping hivernal se réalisait mieux que prévu. Bonus: j’ai été le seul campeur de tout le park Oka ce soir là, à en croire la dame au comptoir d’accueil. J’ai eu l’embarras du choix lors de la sélection de mon site (le numéro 42, pour les amateurs de la science-fiction de Douglas Adams, le choix s’imposait), dans une section du parc réputée bondée !
Je n’ai pas de tente hivernale, alors ma bonne vieille tente trois saison a fait l’affaire. Il faut dire qu’elle a tout juste servie à couper le vent, la toile étant trop mince pour avoir un réel impact sur mon comfort… mais chaque petit élément compte !
Pour dormir, j’avais un sac de couchage « -15 » que j’ai glissé dans un sac « +10 » – mon stratagème était de penser que le sac de couchage léger allait s’imprégner de l’humidité et que mon -15 allait rester relativement sec. Et oui, bon choix. Les deux sacs reposaient sur une couverte de laine pliée en deux, le tout inséré dans un sac bivouac en gore-tek de l’armée américaine, sur un matelas en foam. Une belle nuit en perspective avec un pyjama multi-couche de vêtements synthétiques ou de laine de la tête aux pieds.
Pour ainsi dire, j’ai retenu trois leçons fondamentales:
À moins quinze degrés celsius, tout gèle après quelques heures. Il faut gérer son eau, sa nourriture et ses équipements avec le froid en tête. J’avais anticipé des pommes et poires gelées (il faut les réchauffer sur le feu) mais ma petite lanterne-chandelle refusait obstinément de s’allumer (probablement car elle était trop froide). Mon Zippo a pris froid et je n’arrivait pas à le faire flamber. Des petits pépins qui peuvent mener à de gros ennuis !
Il faut prévoir plusieurs plans de contingence. Mon périple s’est fait sans trop de stress : j’étais à moins de 200 mètres de ma voiture et presque aussi loin du chalet communautaire – chauffé et desservi par l’électricité et l’eau courante. Mais, j’avais quand même l’idée de rester en autonomie complète pour prévoir survenir à mes besoins. Comment communiquer ma détresse le cas échéant ? Est-ce que je peux survivre pendant 6 ou 12 heures pour attendre des secours sans geler ? Et si je croise un collègue campeur en détresse ?
Il faut retrouver le plaisir dans l’adversité. Le moment le plus difficile fut le réveil (j’ai dormi 12 heures avec quelques moments de réveil pour ajuster ma configuration ou vaquer à des besoins corporels). J’étais déshydraté, affamé et le moral au tapis. Il faut s’écouter et effectuer un diagnostic : le physique mène le moral. Quelques bonnes lampées d’eau, deux poignées de noix et hop, j’émerge. Une chance que j’avais tout à la portée de la main (si j’avais eu à faire fondre puis bouillir de la neige, ça aurait été moins plaisant).
En bout de piste, j’ai validé mon équipement et j’ai pris de l’expérience. La prochaine étape, m’éloigner encore plus de la voiture et peut-être passer plusieurs nuitées hivernales en autonomie complète !
Pour préparer son cours de radiotéléphonie marine, j’ai repéré quelques ressource pertinentes. En premier lieu, la US Coast Guard propose un Radiotelephone Handbook, un document d’une cinquantaine de pages offrant plusieurs exemples d’appels ainsi que l’indispensable alphabet phonétique. Du côté Canadien, il existe un document similaire (et en français), nommé Guide d’étude du certificat restreint d’opérateur radio (compétence aéronautique).
Un gros MIKE – ECHO – ROMEO – CHARLIE – INDIA à l’Escadrille Des Trois-Lacs qui présente les cours de l’Escadrilles canadiennes de plaisance ce mois-ci.